La Dynamique de l'Homme conscient
Univers Spirale N° 77
L'Editorial
L'ADN multidimensionnel
L’ADN ne se résume pas à deux hélices biochimiques - voire trois, comme viennent de le découvrir chez un enfant des scientifiques britanniques (lire notre dossier “L’ADN en pleine mutation”) - mais correspond à une organisation invisible beaucoup plus complexe, qui conserve les mémoires de toutes nos expériences de vies.
Toutefois, de nombreuses questions restent sans réponse concernant l’ADN dit “inactif” – l’hétérochromatine constitutive - soit 98,5% de notre ADN ! En réalité, il ne s’agit pas d’ADN physique mais d’ADN de fréquence vibratoire multidimensionnelle existant sous forme éthérique. Cette forme d’ADN représente notre potentiel en conscience unifiée avec douze brins. Aujourd’hui, l’ADN des êtres vivants sur Terre est profondément altéré sur un plan éthérique. Ainsi, l’ascension que nous connaissons ne fait que reconstituer peu à peu notre ADN originel. Cette reconstitution est le fruit d’une activation constante entretenue par les énergies actuelles mais elle ne peut se faire qu’à proportion de l’évolution de conscience de chacun et de l’assimilation de ses divers apprentissages.
Comme nous l’avons souvent écrit dans ces colonnes, l’ADN est le support vibratoire de la conscience. En 4D, il se structure sous une autre forme, reliée à la géométrie sacrée en s’appuyant sur deux triangulations associée entre elle sous l’effet de plus hautes fréquences vibratoires. Cette géométrie est la clé de voûte de notre conscience 4D, préparant ainsi à la future unification de l’être. Il y a donc une corrélation entre l’ADN et l’ensemble des indicateurs qui mesurent l’évolution de conscience. L’activation de l’ADN est un phénomène naturel qui s’opère tout au long de l’évolution individuelle avec une vitesse variable. Cette activation est sacrée et correspond à des conditions nécessaires d’évolution sous l’effet de l’augmentation des fréquences vibratoires. L’ouverture de conscience agit favorablement pour l’activation de tous, à hauteur du potentiel et du choix d’âme de chaque être. Sans forcer l’éveil, il existe des outils d’accompagnement pour activer l’ADN. Mais ces outils ne peuvent en aucun précéder le travail sur soi et notamment celui du corps émotionnel. Ils restent secondaires pour l’ascension. Ils agissent d’autant plus que l’on entreprend une quête spirituelle et un travail sur soi avec un tiers indispensable en tant que miroir de son âme.
L’essentiel est dans l’essence et non dans les outils. Le résultat de ces méthodes se fait à hauteur du travail spirituel entrepris. Le travail sur l’ADN est indissociable d’une quête spirituelle profonde, en y associant un travail psychologique sur ses blessures d’être. Cela signifie que l’essentiel de l’avancement se situe dans le travail sur soi et que le travail sur l’ADN reste secondaire, au même titre que l’ensemble des outils énergétiques quels qu’ils soient. En effet, en aucun cas un protocole énergétique sur l’ADN ne peut forcer l’ascension. La croyance de pouvoir ascensionner avec de simples outils énergétiques est cependant encore répandue. Vouloir activer son ADN “à tout prix” peut rapidement devenir une source d’illusion. Toutefois, en dehors d’une fuite vers l’astral et la maya, les risques physiques restent à priori absents contrairement à d’autres méthodes qui veulent forcer l’éveil (kundalini, ayahuasca, iboga et autres psychotropes d’origine végétale ou fongique). Le risque majeur reste de retarder sa propre ascension du fait d’une mentalisation excessive ou de vouloir utiliser des méthodes qui forcent l’éveil en croyant accélérer son évolution.
L’ADN suit donc l’évolution de conscience, en reflétant le travail de chacun. Son activation ne précède pas les indicateurs tels que l’ouverture du cœur ou la dissolution de l’ego. Son activation obéit à l’intégration des hautes fréquences et à la libération des basses fréquences. L’évolution de conscience, but recherché pour l’ascension, est une transformation holistique où l’ADN représente l’un des éléments. Il est donc essentiel de faire le lien entre ADN et facteurs d’évolution de l’être.
Marc J. PANTALACCI
(Tous droits réservés © Univers-Spirale N°77 – AUTOMNE 2014)