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Univers Spirale N°117

L'EDITORIAL

La propagande, c’est l’air qu’on respire

« « L'illusion de la liberté perdurera tant qu'il sera rentable de la maintenir. Au moment où l'illusion deviendra trop coûteuse à entretenir, ils enlèveront simplement le décor, ils tireront les rideaux, ils déplaceront les tables et les chaises et vous verrez le mur de briques à l'arrière du théâtre. » 

Frank ZAPPA

Cuisson à l'étuvée derrière les nuages ondulés d’un ciel quadrillé de “chemtrails”, avant de fortes chaleurs annoncées par les mass médias anxiogènes... Nouvelle journée incertaine des méfaits de la géoingénierie, cette “science” des manipulations climatiques et du contrôle mental des populations qui n’existe, bien sûr, que dans les fantasmes des “théoriciens du complot”...

 

Chaque jour qui passe, livre sa dose d'aérosols toxiques sur des humains vaporisés comme de vulgaires blattes, et son lot de catastrophes “naturelles” (incendies, inondations, tempêtes, séismes...). Et les projets qui ont germé dans des cerveaux malades, ne manquent pas ! L’informaticien milliardaire “Kill” Gates, soutient la première expérience en haute altitude de “modification climatique”, visant à créer un nuage chimique massif “pour refroidir” la Terre ! Cette technique, dite de géo-ingénierie solaire, a pour but de “masquer” le ciel bleu, en installant en permanence un voile à l’opacité blanchâtre... Une “solution radicale” avec des risques incalculables : famines de masse, sécheresse et autres fléaux majeurs de l’humanité. 

Les ténèbres travaillent sans relâche avec la complicité de leurs “marionnettes”,  cooptées à la tête des états pour détruire l’humanité dans le silence assourdissant des “moutons”, intoxiqués et formatés par télé-mensonges, qui plient l’échine sans bêler ! Il est temps que les masses amorphes lèvent les yeux vers le ciel pour comprendre que “Le Plan“ -  qui n’est même plus secret ( Great reset du WEF ou Agenda 2030 de l’ONU) - est de réduire sans état d’âme la population mondiale - les “inutiles” du sociopathe Yuval Harari - et de faire des “survivants”, des esclaves en puissance de l’IA et du transhumanisme. 

 

“Dans l’Occident du Camp du Bien, nous vivons à l’ère de la propagande”, écrit Bruno Bertez. La grande majorité est largement conditionnée par l’hypnose de masse. La propagande c’est comme l’air que l’on respire. C’est la construction d’un monde clos, et à toujours enfermer, d’un monde imaginaire qui bouche tous les puits d’où pourrait sortir la Vérité”. 

Le ministre nazi de la Propagande, Joseph Goebbels, l’avait parfaitement formalisé : « A force de répétitions et à l’aide d’une bonne connaissance du psychisme des personnes concernées, il devrait être tout à fait possible de prouver qu’un carré est en fait un cercle. Car après tout, que sont cercle et carré ? De simples mots. Et les mots peuvent être façonnés jusqu’à rendre méconnaissables les idées qu’ils véhiculent »... 

Nous traversons une période de destruction des savoirs, des identités, de la culture, de l’esprit critique et nous subirons bientôt une destruction des économies reposant sur la “dette de Ponzi”. La destruction est acquise ; c’est une nécessité de l’engrenage mis en place. C’est un choix délibéré. Prisonniers de l’imaginaire créé par des dirigeants, dont le mensonge et l’opportunisme sont leurs qualités premières, les peuples suivent aveuglément derrrière le “joueur de flûte”. Tant de fois dans l’histoire, les humains ont marché vers leur propre abîme. 

 

Dans les temps anciens, la pauvreté produisait des révoltes contre les classes supérieures, cette fois à la faveur du fameux phénomène d’inversion orwellienne et de la disjonction cognitive des discours et du réel, la pauvreté a été retournée, elle sert à maintenir les peuples en servitude. Elle est instrumentalisée. Tout peut se retourner en son contraire. La pauvreté, au lieu d’unir les pauvres contre les riches, a été injectée comme un poison dans le corps social et elle divise, émiette, pulvérise ce corps social. Elle monte les gens les uns contre les autres.

La paupérisation est le préalable à la guerre, c’est sa condition permissive. C’est elle qui la rend possible en organisant la rareté, comme on le voit avec la rareté énergétique ou alimentaire. En organisant la baisse du pouvoir d‘achat, en mettant en place les conditions de l’inflation accélérée. Le combat qui devait être celui des pauvres contre les riches devient à la fois le combat des pauvres entre eux et le combat des peuples entre eux, pendant qu’au sommet sur les gradins du Cirque, les “nantis”, oligarques et autres “élites” comptent les points ! 

La décision d’utiliser l’inflation dans le cadre du programme Great Reset a été délibérée de la part de l’élite financière. Le Great Reset, est la remise à zéro des compteurs, et de tous les compteurs, de tout ce qui constitue les acquis de la société. On efface le grand tableau sur lequel sont écrites l’Histoire, la civilisation, la culture, les identités. Puis l’ “on” réécrit ce que l’on veut, au gré de ses propres intérêts. Introduire la question du « on », c’est-à-dire de qui veut cela, c’est déjà paralyser la résistance des peuples. “Mais pour résister,  souligne Bruno Bertez, il suffit de constater que ce qui se passe est inacceptable, toute autre question est distraction ou diversion. Car l’inacceptable est inacceptable en soi, d’où qu’il vienne!”

Marc J. PANTALACCI

(Tous droits réservés © Univers Spirale N°117 - Automne 2024)

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