La Dynamique de l'Homme conscient
La Sélection (suite et fin)
Etude du CNRS sur l’enfermement Covid :
une "expérience d'obéissance de masse"
Qui mieux que le CNRS pour officialiser le fait que c’était bien une "expérience d'obéissance de masse". La France de Macron fait partie des pays qui ont adopté, dès mars 2020, les règles de confinement les plus strictes dans la “pandémie” Covid-19. Historien et sociologue, directeur de recherche au CNRS/EHESS/ Université Panthéon-Sorbonne, Nicolas Mariot s'est interrogé sur cette « expérience d’obéissance de masse » que les responsables politiques veulent trop vite oublier pour ne pas avoir des comptes à rendre.
Alors comment expliquer que la population ait largement obéi à ces règles très contraignantes ?
"Nous avions deux hypothèses pour expliquer que 80 % de la population ait accepté de rester enfermée à domicile : la peur du virus et la peur du gendarme, souligne Nicolas Mariot. L’enquête Vico nous a montré que durant toute cette période, il n’y a jamais eu plus de 50 % des gens qui respectaient les recommandations sanitaires (mettre un masque, se laver les mains, etc.). Donc la crainte du virus ne suffit pas, à elle seule, à expliquer l’obéissance massive aux règles.
Par ailleurs, il faut mettre en avant une dimension plus horizontale de l’obéissance, celle qui a trait à la comparaison avec autrui. Le fait est que beaucoup de gens ont été conditionnés à donner l’exemple ou/et de s’assurer que leurs voisins ne disposaient pas d’un privilège, si menu soit-il. L’explosion des dénonciations durant la période (adressées aux maires, aux commissariats ou aux radios locales) est le signe de cette préoccupation fondamentale : les règles ne sont pas mises en cause, dès lors que leur application semble ne pas laisser place à l’arbitraire. Enfin, il faut insister sur l’expulsion de toute présence humaine de l’espace public : bars et parcs sont fermés, plages et forêts sont interdites, l’éclairage nocturne est souvent supprimé. Toutes ces mesures ont abouti à ce que nous avons appelé un « inquiètement du dehors ». Pour les femmes notamment, il est devenu angoissant de s’aventurer dans un espace déserté, par peur d’un “dehors”, comme autrui, devenu menaçant.
J’ai été très étonné de voir qu’aucun grand média, mais également qu’aucune équipe de recherche, en France et même, sauf erreur, en Europe, ne se soit intéressé à dresser un bilan de cette période du point de vue non pas sanitaire, mais réglementaire. Il y a pourtant beaucoup de leçons à tirer de cette expérience, car nous ne sommes pas à l’abri d’une nouvelle pandémie.
Par ailleurs, avec le recul, on constate que ce confinement, qui était “consenti”, car il concernait tout le monde, quelle que soient sa classe sociale, son âge, son niveau de revenu, son lieu de résidence, fut en fait relativement inégalitaire dans ses modalités d’application, du fait de la grande liberté laissée aux autorités locales et aux forces de l’ordre. Enfin, en tant qu’historien spécialiste de la guerre de 14-18, j’ai déjà étudié une telle expérience d’obéissance à grande échelle. Et j’ai été surpris qu’une nouvelle forme "d’union sacrée" justifiant suspension des libertés et gouvernement sans contrôle ait pu se répéter presque un siècle après à l’identique"...
(… la suite de l’article dans Univers SPIRALE N°116)
Droits sexuels des enfants :
l’idéologie pédocriminelle légitimée
Les « droits sexuels » sont une nouvelle idéologie à la mode, portée par différentes instances internationales en matière de santé, et en particulier, la santé des mineurs. Dans son ouvrage « Imposture des droits sexuels - ou la loi du pédophile au service du totalitarisme mondial » (Editions Bookelis), Ariane Bilheran propose une analyse des dérives déjà existantes en France, dans « l'éducation à la sexualité », ainsi qu'une étude de la « déclaration des droits sexuels des enfants » qui soutient cette idéologie pédocriminelle et sataniste, sous couvert de lutter pour les droits des femmes, les droits des homosexuels et les droits à la santé.
La philosophe- psychologue démontre, dans la lignée de ses travaux approfondis sur la psychologie du pouvoir, combien la perversion est toujours l'associée de la paranoïa dans l'avènement du totalitarisme. Elle décrypte les mécanismes pervers qui contribuent à la mise en œuvre de ce « Nouvel ordre mondial » par la transgression sexuelle des enfants et adolescents.
Dans une vidéo - datant de 2017 mais toujours d’actualité - Ariane Bilheran s’entretient avec Judith Reisman, une chercheuse américaine qui a fait connaître au monde la personnalité réelle d’Alfred Kinsey, à travers plusieurs ouvrages, notamment « Kinsey, la face obscure de la révolution sexuelle »
Selon l’OMS, les enfants sont des “êtres sexualisés”, dotés de consentement sexuels. Ils seraient donc à éduquer sexuellement dès la naissance et seraient même des « citoyens sexuels ». Deux textes majeurs qui font la promotion des droits sexuels pour les enfants :
- La déclaration des droits sexuels de l’IPPF (Planning Familial International) ;
- Les standards pour l’éducation sexuelle » de L’OMS.
Trois instituts font du lobbying auprès des institutions internationales pour les droits sexuels des enfants: l’Institut KINSEY, SENSOA et SIECUS.
Selon Judith Reisman, il y a bien un objectif à l’ONU de promouvoir l’exploitation sexuelle des enfants: “Si les enfants sont sexualisés dès la naissance, vous ne rendez plus illégal le trafic d’enfants !”
En France, les droits sexuels sont appliqués par le ministère de la Santé dans un grand "Plan Santé". Ainsi, depuis l'arrivée d'Emmanuel Macron à l'Elysée, en 2017, l’éducation sexuelle est promue dans les écoles, dès la maternelle, ceci à l’insu des parents et enseignants !
Judith Reisman, nous rappelle que « sexualiser l’enfant dès la naissance est dangereux pour le développement psychologique, spirituel et moral de l’enfant... Aujourd’hui, les enfants dès leur plus jeune âge sont conditionnés, endoctrinés par des idées sexuelles, et cela les détruit »...
C’est Alfred Kinsey, un zoologiste - et surtout un pervers sexuel recruté par la fondation Rockfeller - qui a promu le concept selon lequel « les enfants sont sexualisés dès la naissance », et sont des «citoyens sexuels », terme repris dans les standards pour l’éducation sexuelle.
Kinsey a étudié à Harvard dans les années 1920, époque des recherches eugénistes financées par l’oligarchie financière. Selon James Jones, “il était l'un des premiers eugénistes avant la seconde guerre mondiale, recommandant qu’une partie des classes populaires se fasse stériliser pour favoriser un groupe génétique plus robuste”...
Parmi ses proches figurait également le Dr Donald Ewen Cameron, connu pour son implication dans des expérimentations controversées sur le contrôle mental menées dans les années 1950 et 1960, en partie financées par la CIA (MK-Ultra).
Selon Judith Reisman, Kinsey a été influencé par l'occultiste et sataniste Aleister Crowley. Spécialisé dans la magie sexuelle, celui-ci a été chassé d’Irlande après avoir été accusé de meurtres de petits bébés, mais n'a jamais été inquiété bénéficiant de la protection des réseaux de l'élite sataniste, récemment exposée par "l'affaire Epstein"...
(… la suite de l’article dans Univers SPIRALE N°116)