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Hors-série N° 27

EDITORIAL

Un virus infernal

En 1956, Günther Anders présentait, dans L’Obsolescence de l’Homme, cette réflexion prémonitoire : “Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut surtout pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes archaïques comme celles d’Hitler sont nettement dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes. 

L’idéal serait de formater les individus dès la naissance, en limitant leurs aptitudes biologiques innées. Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique le niveau et la qualité de l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations matérielles, médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste, que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif. 

Là encore, il faut user de persuasion, et non de la violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements abrutissants, flattant toujours l’émotionnel, l’instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon avec un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de s'interroger, penser, réfléchir. On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme anesthésiant social, il n’y a rien de mieux. En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité, de la consommation deviennent le standard du bonheur et le modèle de la liberté.

Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur (qu’il faudra entretenir) sera celle d’être exclus du système, et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions matérielles nécessaires au prétendu bonheur addictif de la matière. 

L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme un produit, un mouton qui doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité,  son esprit critique est bon socialement, ce qui risquerait de l’éveiller doit être combattu, ridiculisé, étouffé... Toute doctrine remettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutiennent devront être traités comme tels.” 

La raison d'être du contrôle mental consiste à infiltrer la société “en coulisses”, en plaçant d'abord des serviteurs sûrs à des postes clés. Le système ne peut se permettre d'avoir des maillons faibles. C'est la raison pour laquelle il exige que des esclaves sous "MK" (Mind Kontrol) soient disposés à tous les points stratégiques, même à utiliser des clones !

La programmation des consciences est comme un virus infernal qui tourne en boucle, où les esclaves sont programmés pour devenir eux-mêmes bourreaux mais aussi programmeurs. Toute personne abusée sexuellement, comme psychologiquement, ne reproduira pas automatiquement les abus, mais cette fonction humaine qui consiste à s'autotraiter par des conduites anesthésiantes et dissociatives, comme la violence contre autrui, est exploitée à l'extrême par certains groupes, relais du corpus prédateur extra-dimensionnel, pour faire ainsi fructifier l'abomination de génération en génération. La violence est une drogue. Elle crée un stress extrême, un réveil de la mémoire traumatique qui fait disjoncter la personne par une brusque production d'hormones comme le cortisol ou la morphine endogène. C'est le cercle vicieux de la violence programmée. L'héritage de l'ancienne Babylone, avec ses sacrifices de sang et la mise en esclavage d'êtres humains, s'est transmis à travers les siècles. La tradition des abus rituels pour créer des esclaves, est issue de cette religion sans nom, toujours pratiquée par la mafia khazare et ses relais satanistes dans les hautes sphères dépravées et corrompues de la société.

Mais il n'est plus très loin le temps qui verra cette chaîne infernale brisée. Le Great reset, version Forum de Davos - “Vous ne posséderez rien et vous serez heureux !”- ne fonctionnera pas, pour une raison simple : la définition de l’entropie (désordre), selon la deuxième loi de la thermodynamique, est fausse, parce qu’à l’envers ! “Un système clos, tel que voudrait imposer la Cabale, cela n'existe pas, comme l’a souligné Cobra, lors de sa conférence à Paris, début décembre 2022. Le système n'est pas clos, les trous noirs s'évaporent, des informations sont reçues de l'extérieur (êtres galactiques) et ce processus ne peut pas être stoppé, car tout est intriqué, interconnecté”. 

Il existe un autre reset, antérieur à celui projeté par les psychopathes du WEF, celui des Forces de la Lumière pour libérer la planète de la “Quarantaine” et effacer toute obscurité. 

Rappelez-vous que toute pensée, toute action créent des ondulations à travers le champ de conscience infini. Vous êtes beaucoup plus puissant que vous le croyez !

Alors, Guerriers et Artisans de Lumière, soyez dans la Présence du “Je SUIS”, et persévérez dans vos intentions qui réorganiseront le champ quantique jusqu’à manifester la Victoire !                                                             

Marc J. PANTALACCI

 

Année 2022 © Univers SPIRALE - Hors Série N°27

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