top of page

La Sélection (suite 2)

Etudes précliniques Pfizer et Moderna 

La toxicité de la protéine spike bien connue !

Les requêtes FOIA - Freedom Of Information Act - représentent des transmissions de documents officiels, détenus par les agences fédérales US ou d’autres pays anglo-saxons, vers qui en fait la demande. Celles-ci doivent se soumettre à une loi promulguée en 1966 qui les oblige en théorie à s’exécuter, hormis quand ces documents doivent rester “ secrets”... 

Les dossiers préparatoires aux agréments des vaccins anti-Covid y sont détenus et quand ils sont exhumés, ce qui paradoxalement se révèle très long et difficile, de vilaines surprises ainsi que d’énormes mensonges voient soudainement le jour : « Les fabricants de mort » savaient déjà à l’avance ce que des généticiens, comme le Dr Alexandra Henrion-Caude,  avaient  découvert et dénoncé dès le début de l’épidémie…

Les produits injectés lors des campagnes de masse, sont fondés sur la protéine « de pointe » (spike) dont la toxicité est connue depuis longtemps. La toxicité de la protéine spike du SARS-CoV-2 était connue depuis le début des années 2000 avec le SARS-CoV-1, comme susceptible de provoquer l’ADE (facilitation de l’infection). Ce qui n’a pas empêché tous les fabricants de vaccin de l’avoir choisie comme antigène ! Et particulièrement les « vaccins géniques » (à ADN ou à ARNm) vont faire produire au vacciné cette toxine !

Les pseudo-vaccins contre le coronavirus sont connus depuis 2003. Les documents obtenus par FOIA montrent que le vaccin diffuse dans tout le corps des animaux testés et persiste au moins 14 jours. Une toxicité générale et une toxicité des doses répétées ont été notées pendant ces études ainsi que des résultats équivoques sur la génotoxicité et des résultats concordants sur une toxicité reproductive très probable.

Ce document a été rédigé pour compléter un dossier juridique d’une plainte de victimes des vaccins : comment prouver la causalité des vaccins Covid dans les effets indésirables et les décès qui sont notifiés suite aux injections. Les études pré cliniques (sur des animaux) Moderna et Pfizer révèlent aussi qu’on pouvait anticiper la toxicité des vaccins ARNm Covid...

(… la suite de l’article dans Univers SPIRALE N°111

Surmortalité des "effets indésirables"

Les secrets bien gardés du statut vaccinal

Les statistiques des personnes décédées ou hospitalisées, depuis décembre 2020, selon leur statut vaccinal anti-Covid, “n’existent pas” selon le ministère de la Santé !

Pourtant personne ne conteste la surmortalité des effets indésirables des “vaccins” Covid que les médias refusent toujours d’expliquer. Il suffirait simplement de comparer les décès toutes causes selon le statut vaccinal ! Des parlementaires exigeraient une publication de ces données mais tous ont peur de la vérité car ce que l’on découvrirait est une catastrophe sanitaire et conduirait les responsables à répondre de leurs actes criminels devant les tribunaux.

Les Britanniques ont fourni ce type de statistiques pour le premier trimestre 2022 et les résultats sont stupéfiants : peu importe l'âge, la mortalité des « boostés » est plus élevée que celle des non vaccinés et de mois en mois, c’est plus évident!

– Pour toutes les tranches d’âge, les graphiques montrent qu’un grand nombre de doses ont été injectées pendant les pics de décès.

– Il existe une relation entre les injections des femmes enceintes qui peuvent se faire injecter, à partir de mai 2021, avec un pic en juillet 2021 et le décès de prématurés.

– Les deux pics d’injections des années 2021 et 2022 semblent induire des pics de mortalité pour tous les âges.

– En décalant les pics d’injections dans le temps, ils se superposent presque systématiquement aux pics de décès. Un cas particulier a pu être mis en évidence pour la tranche d’âge 0-14 ans, où la vaccination des femmes enceintes semble s’accompagner d’effets désastreux sur les futures naissances et notamment le nombre anormal des décès d’enfants prématurés. Ce cas particulier est, par ailleurs, corroboré par trois autres études citées dans le paragraphe 0-14 ans.

- Pour répondre sans ambiguïté aux questions posées dans cette étude, le statut vaccinal des personnes décédées, toutes causes confondues, serait indispensable. 

Malheureusement, les pays européens ne semblent pas être prêts à rendre publiques ces données, ou tout du moins, à rendre publiques les bases de données qui permettraient simplement de constituer cette base pourtant réclamée par de nombreuses personnes...

(… la suite de l’article dans Univers SPIRALE N°111)

bottom of page