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Univers Spirale N°100
EDITORIAL

Choisir une nouvelle possibilité quantique

« La désobéissance civile devient un devoir sacré quand l’Etat devient hors la loi et corrompu » 

                                                                         GANDHI

Dans cette invraisemblable histoire de “pandémie”, certains propos du grand philosophe et clairvoyant Rudolf Steiner, résonnent aujourd’hui de manière particulièrement prophétique. Il y décrivait, dès 1920,  « les mécanismes de soumission et de manipulation conduisant à la généralisation d’un vaccin, présentée aux populations sous l’emprise de la peur, comme l’arme incontournable d’une pensée au service de l’ ”homme machine”. »

« Il ne faut pas se leurrer : on est en présence d’un mouvement bien déterminé, écrit-il. Dans le passé, on a éliminé l’esprit (la foi dans un principe spirituel individuel). On éliminera l’âme au moyen d’un médicament. En partant d’une “saine vue des choses”, on trouvera un vaccin grâce auquel l’organisme sera traité dès la prime jeunesse, si possible dès la naissance même, afin que le corps n’en vienne pas à penser qu’il existe une âme et un esprit. Les deux courants, les deux conceptions du monde s’opposeront radicalement.

L’une réfléchira à la manière d’élaborer des concepts et des représentations qui soient à la mesure de la réalité véritable, de la réalité d’âme et d’esprit.

Les autres, les successeurs des actuels matérialistes, chercheront le vaccin qui rendra les corps soi-disant “sains”. On obtiendra ce résultat en manipulant les corps. Et l’on confiera aux médecins matérialistes le soin de débarrasser l’humanité des âmes... »

 

Rudolf Steiner avait la capacité de « voir » la réalité sur les plans de l’Invisible. Une réalité qui, en l’espèce, se présente sous forme d’une information vibratoire avant d’être manifestée. En ce sens, le virus n’a pas de réalité biologique, puisqu’il est constitué de débris d’ADN ou d’ARN. Un virus toxique ne peut exister qu’en se connectant à une cellule hôte, déjà malade ou “empoisonnée”, sur le plan physique (champs électromagnétiques, OGM, pesticides...), mais également sur les plans psychiques (émotions, pensées négatives) et spirituel (anti-conscience, forces obscures).

Ce “branchement” est donc possible lorsqu’un virus entre en résonance avec la vibration correspondante d’une cellule (organe, tissu) en déséquilibre. Les énergies de sidération, de peur et de colère ont ainsi un impact direct sur la biochimie et le fonctionnement de nos cellules, notamment au niveau du microbiote, le “deuxième cerveau” siège de notre immunité. 

Dans cette période de chaos, annoncée comme la “Fin d’un cycle” et l’avènement d’un “âge sombre” dans le champ quantique du Calendrier maya, la crise sanitaire a servi d’élément déclencheur à l’écroulement d’un système oligarchique mondial, passé à l’offensive pour renforcer son pouvoir d’asservissement et de réduction des populations (vaccination forcée avec identification numérique, instauration de l’état d’urgence, économies naufragées, appauvrissement généralisé...).  

Mais si les configurations planétaires ont une influence incontestable sur le cours des événements,  elles ne le déterminent pas pour autant. Comme pour les Prophéties, il y a une lecture “au-delà de la lettre”. Car c’est la conscience qui crée, in fine, à chaque instant, son présent et son futur. Par la qualité de ses pensées et de ses émotions, qui agissent comme un véritable « aimant » sur la réalité, l’homme peut retarder, infléchir, voire même inverser certains paramètres, avec l’aide des puissances du Monde invisible au service de la Lumière. 

Ce monde est « la projection d’événements ayant lieu dans une sphère de réalité plus profonde », a écrit le physicien David Bohm. La conscience et l’acte d’observation déterminent, parmi les nombreuses possibilités, celle qui devient réelle. Pour choisir une possibilité quantique, nous devons DEVENIR cet état d’être, nous abandonner totalement à cette nouvelle possibilité, selon le principe que le sentiment est un « langage »  qui dirige et focalise notre conscience.

Autrement dit, l’objet de notre attention consciente de justice, de paix et d’amour, devient la RéALITé de notre monde. Par la qualité de ses pensées et de ses émotions, qui agissent comme un véritable « aimant » sur la réalité, l’être humain peut retarder, infléchir, et même inverser certains paramètres, avec l’aide des puissances du monde invisible au service de la Lumière. 

Une des erreurs répétées au cours de milliers d’années, a été de combattre “le Côté obscur de la Force”, refusant ainsi le principe de dualité qui régit notre incarnation. Le réveil d’un nombre suffisant de citoyens - la masse critique - ne peut aboutir que s’il y a un travail de conscience sur plan plus subtil. C’est le “Plan” où peut se manifester l’Esprit, par un sentiment unissant, dans le langage sacré de la Création, une émotion élevée (l’Amour, la Gratitude) et une intention pure (la Paix, la Beauté), comme l’ont enseigné, en leur temps, les Maîtres esséniens de Qumrân. 

C’est la “Troisième voie”, celle où les énergies reptiliennes, trop denses, ne peuvent y avoir accès. 

Conscient de cette réalité, soyons ce « Combattant de la Lumière », invincible parce que bien ancré à la Terre Mère et relié au Cosmos, à l’image des Deux montagnes immobiles que rien, ni personne, ne peut déstabiliser, parce qu’il EST dans la joie de l’instant de l’acte déjà accompli, et non dans la difficulté à l’atteindre. C’est la focalisation spirituelle d’un pouvoir intérieur, le pouvoir d’agir en pleine conscience sur la trame de l’ ”Univers Super-lumineux” où tout est UN.

Marc J. PANTALACCI

(Tous droits réservés © Univers Spirale N°100 - Eté 2020)

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